Actuellement, les taux moyens des crédits immobiliers ont atteint un record avec un taux à 2,29%. Ce qui est un taux bas pour un tel crédit est permet d’emprunter sur du long terme, sans voir les intérêts augmenter. Ce chiffre est en baisse car il y a très peu d’acheteur potentiels, en effet, la peur du chômage et sur la baisse du pouvoir d’achat en a dissuader plus d’un.
Pour bien choisir son crédit, il faut s’interroger et renégocier les taux de prêt immobilier. En premier lieu, les banques peuvent proposer des taux capés, qui se présente sous la forme de « capé + ou – 1 ». Ce taux permet d’assurer un minimum d’évolution du taux, car un « capé+1 » sur un crédit à 3% sur 25 ans et assurer de ne pas pouvoir augmenter au delà des 4%, même si la variance du marché est plus importante.
Entre taux révisables et taux fixes, il y a souvent une hésitation. Si le taux variable est inférieur à 0,70% par rapport à un taux fixe sera plus avantageux car un taux variable reste stable pendant les deux premières années en moyenne, or c’est pendant ces années la que l’emprunteur rembourse 60% des intérêts, cette formule est donc assez avantageuse.
Cependant, les taux fixes sont intéressant pour éviter les mauvaises surprises d’évolution car l’emprunteur est sur de garder le même taux jusqu’à la fin de son crédit. Si la banque propose un taux variable relativement bas, celui-ci à de forte chance d’augmenter rapidement, et l’emprunteur se retrouve avec des intérêts parfois doublés. Il est possible en cas d’évolution soudaine de transformer un crédit immobilier à taux variable en taux fixe, mais cette opération occasionnera des frais bancaire supplémentaire, lié au nouveau frais de dossier, aux nouvelles garanties, et aux pénalités de remboursements anticipés.
Il faut donc choisir en des premières mensualités basses mais qui augmenterons avec le temps, ou la stabilité sur toute la durée du crédit.
De plus, il faut savoir que les taux variables ou fixes vont variés selon la durée du crédit quelle soit longue (de 15 à 30 ans) ou courte (7 à 12 ans), ainsi selon la récence de l’habitation, quelle soit neuve ou ancienne.
Quelques chiffres :
Ces taux vont ainsi variés en moyenne entre 1.60% et 3,30% pour les taux fixe de longue durée et entre 1,17% et 3,07% pour les taux variable de longue durée sans prendre en compte l’assurance.
Pour les durées plus courtes, les taux variable vont variés de 0,78% à 1,35% et les taux fixe entre 1,15 et 1,80% sans prendre en compte l’assurance.